La notion de castes purifiées nous indiquent deux éléments importants dans l'évolution des sociétés. D'une part, elles existent encore de nos jours. C'est le cas aux Indes.

D'autre part, leur état actuel d'existence n'est pas dans leur pureté première telles qu'elles existaient déjà chez les peuples anciens. Ces derniers avaient su vibrer dans les irradiations vivantes de la loi de l'attraction des affinités qui réunit les semblables ensemble.

C'est ce que semble avoir saisi intuitivement notre correspondant lorsqu'il parle des rassem-blements des métiers pour fin de raisons syndicales ou professionnelles. C'est une tendance naturelle de s'unir.

Or, ces rencontres ne sont que sporadiques. La réunion terminée chacun retourne chez soi. C'est comme si on tissait la trame sociale lors de ces rassemblements et que l'on défaisait l'oeuvre en quittant comme Pénélope défaisait sa broderie pour hâter le retour d'Ulysse.

Là oü le bât blesse d'avantage, c'est le constat de regroupements consolidant leurs droits pour les opposer au pouvoir en place lors des négociations avec une structure en dehors de leur constitution.

Cet état de fait dénote un déséquilibre important d'un climat social souvent tendu. Souvent, pour retrouver sa paix intérieure l'individu sombre dans l'indifférence ou pire décroche totalement. La vie meurt en lui et il devient inactif ou désoeuvré.

Vivre à l'aise de façon permanente parmi autrui dans un milieu davantage conforme à sa nature permettra à chaque individu de s'épanouir, d'évoluer par en avant dans l'harmonie. Mais on ne pourra le réaliser que dans une nouvelle répartition des êtres humains en groupes d'affinités.

Regroupement de médecins, d'artistes, de gens d'affaires, d'artisans, de chefs religieux, de militaires, de juristes, d'éducateurs, etc...

Pour atteindre ce but, il faudra modifier considérablement les strucures sociales existantes. Les premier pas, la conscientisation et la conviction de cette nécessité, constitueront le terreau.

Il ne s'agit pas ici d'un appel à la révolution mais d'un éveil à la réalité d'un mieux être dans son groupe d'appartenance.

Lors de ralliements, par exemple des associations de généalogie, pourquoi ne pas créer des mini rencontres par groupes sociaux. De toute façon, ceux qui se retrouvent en affinité d'intérêt se regroupent souvent aux mêmes tables.

Mêmes possibilités pour les rencontres de partis politiques.

Autres temps, autres moeurs. Non seulement l'humanité est à la fin d'une ère mais aussi à la fin d'une grande année cosmique, c'est à dire de douze de ces ères de 2, 160 ans.

La fin d'un cycle s'amorce et tout doit devenir nouveau!

De grands bouleversements accompagnent habituellement ces changements. Déjà les catastrophes de toutes sortes nous y préparent.

Devrons nous changer de gré ou de force malgré notre libre-arbitre sous la poussée des radiations cosmiques?

Des castes ou classes sans lutte, constituées naturellement, travailleraient côte à côte dans une même direction évolutive parce qu'ils ont une même origine spirituelle.

Loherangrin

Les castes

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